Le livre :
À 24 ans, Panayiotis se livre sur sa vie d’homme ! Ses difficultés au quotidien, face à son père dont la mort est proche, son homosexualité et bien sûr sa dépression.
Il revient sur son enfance, ses rapports avec la gent féminine puis la découverte des hommes et le mal-être qui grandit avec lui. L’auteur et artiste revient sur sa vision de la vie et évoque les quelques années passées à la télévision.
Le crayon :
Ce 1er roman pourrait s’intituler « Journal d’un égocentrique se pensant unique ». Si la vision de l’auteur sur la vie m’horripile plus qu’elle ne me touche, le roman en lui-même ne vaut pas mieux.
Où est l’écriture tranchante et l’humour promit ? P. Pascot balance ses idées comme elles viennent et débrouille toi avec ça. On ne parle pas de style puisqu’il est inexistant. Sans intérêt ! Oups, pardon… Ça doit être ça, être un artiste incompris.
L’addition :
Un livre, un crayon, l'addition ! 